Les samedis matins de l'autohypnose

La pratique de l’hypnose est maintenant validée par de nombreuses études.

Vous pouvez apprendre à pratiquer l’autohypnose pour atteindre vos objectifs personnels.

Nous proposons 6 samedis matins de pratique répartis sur l’année scolaire 2022/2023.

Niveau de pratique : du débutant au confirmé.
Aucun préalable en hypnose n’est nécéssaire. Les débutants seront guidés pour commencer leur apprentissage. Les personnes expérimentées pourront développer leurs compétences et faire de nouvelles découvertes.

La participation au 6 groupes est requises.

Animés par Philippe Delaporte, Isabelle Prévot et Elise Lelarge

Dates

12 octobre 2024 – Isabelle Prévot
23 novembre 2024 – Elise Lelarge
14 décembre 2024 – Elise Lelarge
18 janvier 2025 – Isabelle Prévot
1er mars 2025 – Philippe Delaporte
26 avril 2025 – Philippe Delaporte

Horaires

09h30 – 11h30

Lieu

86bis Avenue Willy Brandt – 44400 Rezé

Tarifs

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La pensée chinoise nous fournirait-elle une définition de l’hypnose ?

« Un paysan de Song rentre le soir chez lui, fatigué, et dit à ses enfants : « Aujourd’hui j’ai bien travaillé, j’ai tiré sur les pousses de mon champs. » Sur quoi ses enfants accourent voir le résultat et tombent, bien entendu, sur un champ dévasté où toutes les pousses sont en train de se dessécher. Et Mencius d’en conclure : il y a deux erreurs dans le monde, l’un est de rechercher directement l’effet (zheng), comme si l’efficacité n’était qu’une question de visée et de volonté – à la fois de projet, de moyens et d’efforts ; l’autre de ne rien faire du tout et de délaisser son champ. Mais, s’il ne faut ni tirer directement sur les pousses, ni renoncer à s’impliquer, que faut-il faire alors, selon Mencius ? Tout paysan le sait, il faut biner au pied de la plante, il faut sarcler. Cela n’a l’air de rien mais l’on touche là ce qui me paraît l’un des traits les plus fins de la pensée chinoise : comment elle réussit à articuler, au point de les faire coïncider l’artificiel et le naturel ; ou comment on doit aider ce qui vient néanmoins tout seul. »

François Jullien